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15 mai 2012

"Lorenzaccio" d'Alfred de Musset, pp. 255 - Ed. Larousse - 1991.

Musset

          4ème de couv.

Florence, 1537. Alexandre règne par la terreur, et la vertu a fui. Jusqu'à son cousin Lorenzo qui a changé de visage ! Lui qui était un modèle de pureté, il s'est fait entremetteur. Par mépris, on le surnomme Lorenzaccio. Lorenzaccio ne serait-il qu'un masque ? C'est que Renzo a un projet fou : à lui seul, il veut tuer le tyran. Pour l'approcher, le héros joue le débauché. Mais le rôle n'est pas sans risques. Très vite, le costume lui colle à la peau. Florence et Lorenzaccio, c'est tout comme. Trop divisés pour jamais s'entendre, ils sont tous deux condamnés à mourir.

          Première phrase.

"Un jardin. Clair de lune; un pavillon dans le fond, un autre sur le devant."

          Lilly's feeling.

D'accord, j'avoue que je ne lis pas énormément de pièces de théâtre, et que je préfère les romans classiques, mais là... Wouah! J'ai lu deux actes et j'ai abandonné "Lorenzaccio". Je suis plutôt du genre têtue, mais là trop c'est trop.

Ne me demandez pas de quoi ça parle, à part une réponse générique du style "des histoires de famille", j'ai trouvé le récit plutôt brouillon. Je n'ai à aucun moment réussi à "entrer" dans l'histoire. Alors je ne sais pas si ça vient de moi, ou pas mais en tout cas c'est dommage. Fatiguée? Peut-être... Ouh la bonne excuse.

Le véritable motif qui a arrêté cette lecture - chose très rare chez moi - est la quantité de personnages, qui sont assez communs dans l'ensemble. Mais ce n'est pas ça le problème, c'est qu'ils sont trop nombreux et qu'à chaque réplique je me demandais qui parlait. Alors je retournais à la page de présentation des personnages, je tentais de me rappeler ensuite ce qu'avait vécu ce dernier et... bonjour la prise de tête.

Que ma critique ne vous empêche pas de vous faire votre propre opinion, mais si j'amais il y a davantage de lumière chez vous, n'hésitez pas à venir me l'expliquer.^^

          En bref.

Je crois que rien ne vaut une pièce de théâtre jouée pour mieux la comprendre. "Lorenzaccio" était ma première lecture d'une oeuvre de Musset (je crois que c'est la plus célèbre d'ailleurs) mais ça ne m'empêchera pas d'en lire une autre telle "On ne badine pas avec l'amour". Têtue? Non.

          Pour en savoir plus sur l'auteur et sur le livre.

          D'autres avis:

livraddictlogo  babelio  Booknod  goodreads

          Note:          étoile

Baby théâtre

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