"Nous n'irons plus au bois", de Mary Higgins Clark, pp. 309 - Ed. Livre de poche - 1995.
4ème de couv.
Laurie Kenyon, vingt et un ans, est arrêtée pour le meurtre de son professeur. Tout l'accuse sans équivoque possible. Cependant Laurie ne se souvient de rien. Sarah, elle, refuse de croire que sa soeur est coupable. Avec l'aide d'un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie : son enlèvement à quatre ans, les violences qu'elles a subies, les graves troubles de la personnalité qu'elle a développés depuis, à son insu. Mais au même moment, le danger rôde à nouveau : le couple kidnappeur, qui a retrouvé sa trace, redoute ses révélations... La romancière de La Nuit du renard, Grand Prix de littérature policière 1980, nous entraîne dans un suspense où se mêlent à chaque page l'angoisse, les cauchemars de l'enfance, la folie.
Première phrase.
"Il y avait à peine 10 minutes, la petite Laurie Kenyon, une enfant de 4 ans, était assise par terre en tailleur, dans le petit salon où elle jouait à placer et déplacer les meubles de sa maison de poupée."
Lilly's feeling.
J'ai eu ma crise Mary Higgins Clark au tout début du collège. J'avais adoré la nuit du renard, et avec celui-ci, ils formaient le duo de tête de mes préférences pour cet auteur. J'aimais bien ça façon de mettre le lecteur en danger parce qu'il s'identifiait à la jeune femme, potentiel victime. Dans ses livres à chaque fois une jeune femme est en danger, mais elle prend sa peur en main et réussit à se sortir de là sans trop de casse. C'est cette gestion de la montée de l'angoisse et l'identification qui me plaisait beaucoup à l'époque.
En bref.
J'aimais beaucoup les M.H.C. Ce sont de bons (gentils?) souvenirs. Attention, c'est très très loin de Mo Hayder!
D'autres avis: Babelio, accrobiblio, Luna.
Pour en savoir plus: sur l'auteur, sur le livre.